🕑20 avril 2020
ET DEMAIN ? BONNE QUESTION.
Pour l'instant, c'est le trou noir.
Nous éviterons de réécrire l'actualité et de la commenter en boucle, d'autres s'en chargent.
Attendons le 11 mai. COVID entamera sa retraite. Le gouvernement prendra des décisions sous sa responsabilité, nos actionnaires et dirigeants également en concertation avec les syndicats.
Seule certitude, nous veillerons à une reprise dans les conditions optimales de sécurité préconisées par les Pouvoirs Publics. Restons pragmatiques et objectifs.
L'avenir est certes écrit dans les constellations d'étoiles, mais nul ne possède la science infuse pour une interprétation infaillible.
Personne aujourd'hui ne peut prévoir l'évolution de la situation à part le dieu Trump et...la CAT !
Aussi nous laissons la jouissance de l'écriture du futur aux "Nostradamus" CATins qui alternent visions apocalyptiques dans leur approche conjecturale de la conjoncture avec prédictions paradisiaques dans leurs supputations de probabilités de leurs suppositions.
Comme disait Coluche : "quand on n'en sait pas plus… !"
CÔTÉ PRATIQUE.
- Le salaire d'avril est versé le 4 mai et visible sur le compte ce même jour pour les plus chanceux et le lendemain 5 mai pour les autres gueux.
Il est calculé sur 5 semaines (11 à 15),du 8 mars au 11 avril, les 2 premières étant travaillées et les 3 suivantes sous chômage partiel, sauf autres cas naturellement.
- Bulletins de paie. N'oubliez pas , si besoin, de les réclamer auprès de vos responsables respectifs
afin qu'ils vous les envoient par mail, ou par courrier si chèque à l'intérieur.
- Acomptes. Les acomptes sont limités à 30 % du salaire. Compréhensible. Question de trésorerie, car l'entreprise ne rentre plus d'argent et n'est remboursée des salaires chômage qu'à terme échu.
Les acomptes déjà programmés sont maintenus sans autre formalité.
Les acomptes exceptionnels sont à demander au plus tard le 7 mai.
Nous vous joignons, pour rappel si vous ne le possédez pas, le calendrier des versements salaires.
LES 2 C : COVID 19 et CEDRIC de BAYONNE (de Bayonne n'étant pas un signe de noblesse mais seulement une indication géographique),
Donc Cédric, distributeur handicapé ainsi que sa compagne, personnes à haut risque s'il en est, nous transmet ce message également diffusé sur France Bleue Payas Basque :
"J'aimerais que l'on m'explique quelque chose. Je fais venir SOS médecin à 2h du matin (13 avril) car je tousse, j'ai le nez qui coule, plus de 38° de fièvre. Il me fait une ordonnance pour test
Covid 19. Il me donne le nom du labo qui réalise les tests. Et quand je les appelle, ils m'expliquent qu'ils ne peuvent pas le faire car le médecin aurait dû faire valider la prescription par le 15 ou le service infectiologie de l'hôpital "
La réalité est bien loin des interventions médiatiques où tout paraît si simple, d'autant plus incompréhensible que le médecin de SOS en question est l'ancien infectiologue de l'hôpital !
Nous apprenions par ailleurs hier, relation de cause à effet peut-être, que l'appareil d'analyse des tests venait juste d'être livré à Bayonne.
Conclusion : manque de masques, manque de tests, manque de machines...mais beaucoup de beaux discours . C'est le Moyen Age revisité !
RETENEZ surtout que si vous avez des symptômes avec suspicion de Covid 19, passez illico par le 15, puisqu'un médecin généraliste est considéré comme incompétent en la matière.
Au revoir. A bientôt espérons et surtout restez bien à l'abri.
Le moindre écart peut coûter une vie et une vie peut en sauver une autre.
Quant à Cédric, fausse alerte, il va bien.