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Le syndicat FO informe et défend le personnel MILEE

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INTEMPÉRIES SUITE...

CI-DESSOUS VOUS POUVEZ TROUVER UN COURRIER ENVOYE A LA DIRECTION AU SUJET DES INTEMPÉRIES.
AFIN QUE COMME LE CONCURRENT LA DIRECTION ADREXO REPONDE A SES OBLIGATIONS


Monsieur le Directeur Général,

 

 

Toute la FRANCE grelotte, toute la FRANCE est sous la neige. Les médias nous en mettent plein les oreilles. Toutes les régions sont concernées y compris la PROVENCE – COTE D’AZUR (voir St Rémy de Provence), donc personne n’est censé l’ignorer sauf, bien sûr, la direction d’ADREXO. Même la direction de la concurrence a pris le problème à bras le corps demandant que chaque distributeur concerné fournisse le temps réel de distribution au chef de dépôt. Il semble bien que chez ADREXO, aucun de nos dirigeants n’ait eu jusqu’à présent le courage ou pris la peine de tirer un chariot petit ou grand plein de publicité dans 10 centimètres de neige minimum et pourtant il suffisait d’essayer, du coté d’AIX en PROVENCE, comme l’an dernier d’ailleurs. Impossible d’utiliser la chaussée dégagée sans enfreindre les consignes de sécurité ou au pire de s’attirer les foudres des automobilistes. Mais comme l’an passé, nos demandes restent veines un peu comme dans le conte : « Sœur Anne ne vois-tu rien venir ».

 

C’est bien vrai et pourtant l’Annexe 3, paragraphe 2 de la Convention Collective (Déjà rappelée à maintes occasions) : Détermination des cadences - le dernier alinéa est clair :

-dans les cas spécifiques de - modifications substancielles des conditions climatiques, des cadences particulières sont déterminées en tenant compte notamment des équipements mis à la disposition des distributeurs.

Jusqu’à plus ample informé, on ne nous a pas fourni de chaussures à clous ni de chariots à roues chainées (faudrait-il encore que chacun dispose d’un chariot, ce qui ne semble pas le cas en ce moment). Une fois de plus, on fait l’impasse totale sur la convention collective.

Sans doute, comme par le passé, la réponse à ce courrier sera : voir en question D.P.

Ce qui ne manquera pas d’être fait mais pour avoir aussi la réponse : voir avec le C.E. et ainsi de suite. On n’en finit pas, on oublie, le temps passe et le distributeur est une fois de plus complètement floué.

 

La Direction de notre société semble oublier, la mémoire est courte, les efforts que nous avons consentis fin 2008 et fin 2009 pour préserver l’outil de travail, le salaire des distributeurs à la veille des fêtes et les quelques avancées négociatrices locales auxquelles vous répondez, il nous semble, en freinant sur les quatre roues alors que tout ceci a été mené dans un seul but, l’intérêt des salariés, faisant abstraction de l’intérêt syndical unitaire.

 

 

 

 

 

Malheureusement, nous sommes en passe de nous poser la question : oui ou non, nous sommes nous trompés, ici à STRASBOURG ?

 

Notre réaction va être sans équivoque. Nous allons employer tout les moyens juridiques possible, puisque vous nous y obligez, pour qu’enfin la convention collective soit déjà appliquée dans ses termes actuels, mais aussi afin d’en obtenir une révision pour qu’elle cesse d’être interprétée à sens unique d’une part mais aussi pour clarifier certaines aberrations d’autre part.

 

Nous avons espoir que vous ne resterez pas insensible à ce courrier qui n’est rien d’autre qu’un cri d’alarme. Il n’y a pas que des actionnaires chez ADREXO, il ya des salariés et des actionnaires qui ne sont rien sans les précédents. C’est ADREXO qui fait vivre SPIR, il ne faut surtout pas l’oublier.

 

Nous vous prions d’agréer, Monsieur le Directeur Général, l’expression de nos sentiments les plus respectueux et les plus fidèles.